13 novembre 2006
La guerre, ça devient la barbe quand tout est mort
On ne saurait dire que tous ces coins-là soient bien amusants. Evidemment, c'est la guerre. Mais la guerre, ça devient la barbe quand tout est mort, éteint, embaumé. Il faudrait lui trouver des limites. Par exemple le foutebôle, on y joue dans des endroits spéciaux. Il devrait y avoir des terrains de guerre pour ceux qui aiment bien mourir en plein air. Ailleurs on danserait et on rirait.
Roger Nimier, Le Hussard bleu.
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