7 mai 2009
C'est une histoire où la souffrance et la survie sont très liées.
Celui d'avant, La Femme du Ve (2007), était un petit polar écrit en vingt semaines dans une sorte de fureur. Mes lecteurs ont été un peu surpris par son côté fantastique. Quitter le monde est un livre sur l'ombre de l'enfance. Sur la façon dont on construit une vie tout en sachant qu'il est impossible d'éviter les déceptions. Comme dit Mick Jagger : “ You Can't Always Get What You Want”. Et puis c'est un livre sur l'ombre du père inaccessible, sur la question de l'autorité. C'est une histoire où la souffrance et la survie sont très liées.
Douglas Kennedy, Le Figaro, 7 mai 2008.
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