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27 mars 2008

Ecrire, c'est se mettre dans la peau d'un autre

D'un roman à l'autre, Muñoz Molina - qui vit aujourd'hui entre l'Espagne et New York - fait preuve d'une incroyable attention à cette humanité dont il enregistre les moindres palpitations, à la manière d'un sismographe. «Ecrire, c'est se mettre dans la...
26 mars 2008

N'est pas Fitzgerald qui veut

N'est pas Fitzgerald qui veut
Tendre est l'ennui Quand Russell Banks s'intéresse à l'Amérique huppée des années 1930. N'est pas Fitzgerald qui veut. Outre-Atlantique, Russell Banks est un auteur très écouté. Sa spécialité, c'est d'observer les désarrois et les soubresauts de son pays,...
25 mars 2008

Mes romans fondent mes opinions politiques

Comment vos opinions politiques, votre vision de la société américaine et de l’histoire de votre pays s’articulent-elles avec votre travail de romancier ? Mes idées politiques, le fait que je sois un homme de gauche, la façon dont je vois le monde, tout...
22 mars 2008

Anna Gavalda peut aujourd'hui tout se permettre

Après les 2 millions d'exemplaires toutes éditions confondues de Ensemble, c'est tout, voici donc La Consolante, 638 pages de gavaldisme au carré. Même si la petite musique puise à la même source, on est loin du sage recueil de nouvelles qui avait révélé,...
21 mars 2008

On préfère toujours une belle histoire avec du sens

On préfère toujours une belle histoire avec du sens
Paris, Théâtre de l’Odéon, 3 mars. Le cheveu blanc et ras, une barbe soignée de philosophe romain, à la Marc Aurèle, Russell Banks lit des extraits de son nouveau roman, « La réserve » (1), en plissant les yeux comme un archer mongol. La salle est remplie...
14 mars 2008

On fait de la bonne et de la mauvaise littérature avec tout

Elle en a plein sa musette, Anna Gavalda. De l'acuité, de l'humour, des petites remarques justissimes sur le quotidien. Elle sait qu'elle en a besoin. Elle se construit une carapace. Costaude. Parce que vous savez quoi ? Dessous, elle a l'incongruité...
13 mars 2008

J'ai toujours pensé que mes personnages avaient des vies plus intéressantes que la mienne

J'ai toujours pensé que mes personnages avaient des vies plus intéressantes que la mienne
« Avant, j'étais jeune et docile, je ne savais pas dire non et voulais faire plaisir à tout le monde. J'acceptais les demandes des photographes et répondais aux interviews alors même que je détestais cela, prendre la pose. Aujourd'hui, je suis vieille...
11 mars 2008

Car les mots finissent par être notre ­univers

Partant des mots de l'époque, il se livre en fait à une description réfléchie du monde globalisé où la seule frontière qu'on identifie sans mal est celle des «marques», où l'idéologie de la prévention glisse vers une multiplication des interdits, où l'on...
4 mars 2008

Sans doute la rencontre s'était elle produite parce qu'elle devait se faire

En passant devant la gare, je me souvins soudain de la promenade interminable avec Naoko. D'ailleurs, tout avait commencé à cet endroit. Je compris alors que ma vie aurait été différente de ce qu'elle était devenue si je n'avais pas rencontré Naoko par...
2 mars 2008

Faulkner souhaitait disparaître derrière ses livres

D'entrée de jeu, Bleikasten abat ses cartes : la vie d'un écrivain ne nous intéresse que s'il existe des "points de passage et d'échange" de l'homme à l'oeuvre. Faulkner souhaitait disparaître en tant qu'individu derrière ses livres, considérant que sa...
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Propos insignifiants
  • Promenade buissonnière parmi les livres et les écrivains, avec parfois quelques détours. Pas d'exhaustivité, pas d'ordre, pas de régularité, une sorte de collage aussi. Les mots ne sont les miens, je les collectionne.
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