Windows on the world
Je suis venu à bout de « Windows on the world ». Impression mitigée. Lorsque le père et ses deux enfants -dont l’un était déjà mort- se sont jetés dans le vide, j’ai senti quelques picotements dans les yeux. Véro épluchait des oignons à deux mètres de moi. Les meilleures pages sont celles ou Frédéric Beigbeder parle de lui. Il faut lire les remerciements jusqu’à la fin, pour arriver à un « Et vive Sean Penn ! ».
Sur un forum littéraire, une participante s’interrogeait sur les habitudes de lecture. Un livre qui a plu entraîne-t-il l’envie de lire tous les autres romans de son auteur ? Je n’ai pas l’esprit assez systématique pour répondre positivement à cette question. Je préfère butiner. Je ne suis pas un garçon très fidèle, en fait.
(8 novembre 2003)